Rafale Marine: Un Avion Arrivé à Pleine Maturité

Il y avait donc un certain nombre de questions quant à la capacité réelle du bâtiment dans une configuration constituée uniquement de Rafale Marine. Pour l’ancien COMGAE du Charles de Gaulle, la mission Arromanches 3 a constitué un tournant. Le Super Etendard, qui « a été amélioré pendant 40 ans pour continuer de coller aux exigences des opérations », assurait l’essentiel des missions dévolues au Rafale. Mais l’ancien avion « le faisait à une échelle moindre » et comptait une grosse lacune : son inaptitude à la défense aérienne. L’un des atouts majeurs du Rafale, rappelait le commandant Jean, c’est sa polyvalence. Attaque au sol, lutte antinavire, défense aérienne, dissuasion nucléaire, reconnaissance, ravitaillement en vol d’autres appareils… « Cet avion s’adapte à toutes les missions et offre au GAE une polyvalence permanente. De cette manière, quand le porte-avions est en mission, on peut évoluer à tout moment. Si, par exemple, quelqu’un veut venir contester l’espace aérien, tous nos avions peuvent réagir et l’on passerait ainsi, instantanément, à 24 chasseurs disponibles.

Selon Pilatus, le PC-24 peut atterrir et décoller depuis 20 135 aéroports à travers le monde, contre 10 645 pour les autres jets commerciaux comme le Phenom 300 d’Embraer ou le Citation CJ4 de Cessna. Deux turboréacteurs Williams FJ44-4A équipent l’appareil. Le PC-24 vole à une vitesse de croisière maximale de 815 km/h. Son rayon d’action est de 3 400 km en configuration six passagers. Au maximum, il peut transporter jusqu’à onze personnes. L’avionneur, basé à Stans (Suisse), a investi 500 millions de francs suisses (427 millions d’euros) dans le développement du PC-24 ainsi que 150 millions de francs suisses (128 millions d’euros) dans la construction de nouveaux bâtiments et outils de production. Pilatus emploie près de 2 000 salariés dont la majorité basée dans son siège de Stans en Suisse. Le constructeur a réalisé un chiffre d’affaires de 821 millions de francs suisses (703 millions d’euros) en 2016. La compagnie a été fondée en 1939. Jusque dans les années 1990, le constructeur helvète est spécialisé dans les avions d’entrainement. Le Tu-104 est un avion biréacteur de 80 à 117 sièges, produit à 204 exemplaires entre 1956 et 1960. Fiable et robuste, son coût d’exploitation est beaucoup trop élevé et l’avion n’est pas rentable, même bradé. Son seul client à l’exportation est la compagnie tchécoslovaque CSA pour 6 exemplaires dont 1 offert. Il permet cependant en 1956 à Aeroflot de réduire la durée du trajet entre Moscou et Irkoutsk en Sibérie occidentale de 18 h 25 min et trois escales à six heures et demie. En 1972, Aeroflot met en service un appareil de 168 à 180 sièges, le triréacteur Tupolev Tu-154. Parfaitement adapté aux conditions d’exploitation dans les républiques de l’URSS, solide et fiable, il est plus lourd, surmotorisé et moins économique que ses concurrents occidentaux mais pour autant reste l’avion de ligne soviétique le plus produit. 918 exemplaires ont été produits dont 15 % ont été exportés hors d’URSS.

Vidéo L’Armée de l’Air a reçu en octobre son premier ravitailleur Airbus A330 MRTT. Découvrez-le lors d’un essai de ravitaillement en vidéo. L’Armée de l’Air a pris possession de son nouvel avion ravitailleur Airbus A330 MRTT en octobre. Vidéo Malgré la baisse annoncée de son budget, la Direction générale de l’armement vient de qualifier le standard F3-R du Rafale et de confirmer à MBDA l’achat de 567 missiles MICA NG. Tout en rappelant comment elle entend désormais travailler avec l’industrie. Enquête La France est-elle accro à ses ventes d’armes ? En tout cas, elle n’a pas suivi l’appel du Parlement européen, favorable à un embargo sur les ventes d’armes à l’Arabie saoudite dans le cadre du conflit au Yémen et visant à condamner l’assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi. Le français Dassault Aviation, fabricant notamment du Rafale, se positionne comme un fournisseur de technologies capables de manoeuvrer les futurs avions spatiaux à la fois civils et militaires, et non comme un avionneur à part entière. Demain, la supériorité militaire viendra du spatial. Bonne nouvelle Dassault Aviation et la région Auvergne-Rhône-Alpes s’allient pour créer une plateforme industrielle collaborative consacrée à l’impression 3D appliquée à l’aéronautique. Le programme, baptisé « Aeroprint », avion de chasse prévoit déjà un investissement de 25 millions d’euros. Qui sont les 11 patrons français les plus performants selon le Harvard Business Review ? Bonne nouvelle Le 22 octobre, le Harvard Business Review a publié son Top 100 des PDG les plus performants dans le monde. Les Français sont bien représentés. Ils sont onze à s’être distingués pour leur direction d’entreprise.

Le F-35 participe à des exercices joints en Europe

Les avions de combat F-35A de cinquième génération participent à un exercice multinational mené par les forces aériennes américaines en Europe, dont le but est de démontrer les capacités de défense du système de défense aérienne et antimissile intégré des États-Unis. Les forces militaires américaines en Europe collaborent étroitement avec les forces de la coalition de Croatie, d’Italie et de Slovénie pour exécuter Astral Knight 2019 sur la base aérienne d’Aviano (Italie) et à divers endroits en Europe, le 3 juin. La formation impliquera une combinaison d’opérations de vol et de scénarios assistés par ordinateur. L’objectif de l’exercice est d’améliorer l’intégration du commandement et du contrôle, vol baptême L39 Sud de la France la coordination et l’interopérabilité des capacités aériennes et terrestres et le chevauchement des opérations dans l’entreprise IAMD. Plus de 30 appareils de l’USAF participent notamment aux F-35A Lightning II, aux F-16 Fighting Falcons, aux KC-135 Stratotankers et aux E-3 Sentry. Les F-35A Lightning II et les Eurofighter Typhoons de l’armée de l’air italienne et les MiG-21 croates participent également à cet exercice. «L’avantage de travailler Astral Knight assure la coopération régionale des alliés de l’OTAN », a déclaré le Major Robert Umholtz, de l’armée de l’air américaine, responsable de la planification des exercices pour Air Force Africa A37 en Afrique,« Cet exercice est dirigé par les États-Unis. intégrer la 5ème génération [d’aéronefs] au fur et à mesure que nous progressons, plus nous pourrons fonctionner comme une force aérienne, une force interarmées et un partenariat de coalition.  » Les actifs de cinquième génération comprennent les avions de combat F-35A. Leurs capacités complètent et améliorent les capacités de supériorité aérienne des aéronefs de 4e génération et des autres aéronefs de 5e génération. « Nous devons nous assurer que nous avons la capacité de les intégrer pleinement dans notre plan de jeu, dans notre exercice et surtout dans notre capacité à fonctionner si nous devons entrer en guerre », a déclaré Umholtz.

Le F-35A est le dernier chasseur de cinquième génération de l’armée de l’air américaine. Il remplacera la flotte vieillissante de F-16 Fighting Falcons et de A-10 Thunderbolt II de la US Air Force, qui sont le principal avion de chasse depuis plus de 20 ans. et apporter avec elle une capacité accrue de survivre dans l’environnement de menace avancé dans lequel il a été conçu pour fonctionner. Grâce à ses performances aérodynamiques et à son avionique intégrée avancée, le F-35A offrira une furtivité de nouvelle génération, une meilleure connaissance de la situation et une vulnérabilité réduite pour les États-Unis et les pays alliés. Les soldats européens de l’armée de terre de la 10e armée, le Commandement de la défense aérienne et antimissile, entraîneront également l’entraînement de leur système de missiles sol-air pour patriotes, capable d’empêcher les ennemis d’utiliser efficacement leurs armes offensives. Une présence par rotation de l’armée américaine sur le théâtre européen renforce l’engagement des États-Unis en matière de sécurité régionale. La capacité de l’armée américaine à réagir rapidement repose sur le fait que les forces américaines sont en Europe engagées, posturées et prêtes avec une force crédible pour assurer, dissuader et défendre. Les États-Unis et l’Europe s’engagent mutuellement à relever ensemble les défis stratégiques. Exercices multinationaux, comme Astral Knight, améliorer la coordination générale entre les alliés de l’OTAN et les armées militaires afin de dissuader les adversaires et de défendre la sécurité régionale dans un environnement de plus en plus complexe.

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Rafale Dans L’Armée De L’Air

A la fin de l’année 2014, 137 Rafale ont été livrés, dont 97 Rafale Air et 40 Rafale Marine. Pour ce qui des aviateurs, 45 Rafale C ont été pris en compte par l’AA (le 101 restant au CEV) et 48 Rafale B (le 316 a été détruit, et deux appareils sont au CEV). Sur 97 Rafale ‘Air’, environ 90 seraient en escadron, les autres en stockage à long terme ou en maintenance 3e niveau. Les escadrons volant sur Rafale sont au nombre de 5: ECE 5/330 Cote d’Argent- EC 1/7 Provence – EC 1/91 Gascogne – EC 3/30 Lorraine – EC 2/30 Normandie-Niemen – ETR 2/92 Aquitaine. Le Rafale a montré ses capacités dans des missions d’appui rapproché en Afghanistan (2007, puis 2009 à 2011), et également lors de missions d’interdiction ou strike en Libye (Harmattan) puis au Mali (Serval), et en missions de reconnaissance. Depuis 2013, les Rafale sont constamment utilisés en opérations, toujours en air-sol. Ce prochain standard permettra aussi la mise en service du nouveau pod de visualisation et de désignation, en remplacement du Damoclès: les missions CAS, x-AI ou SCAR demandent en effet une précision accrue dans l’identification des objectifs d’opportunité.

’affaire pour environ 28600 avions. D’une part on a l’A380, qui représente un projet d’une dimension considérable, et d’autre part on a le Boeing 787 Dreamliner. Notons toutefois que le lancement de ces deux avions a était très lourds sur les deux constructeurs. Contrairement à Airbus qui ne rencontre pas de difficultés de conception pour ses avions (juste des problèmes d’industrialisation), le B787 a des problèmes dans ces deux domaines. Boeing devrait-il développer un Super Jumbo ? Financièrement selon beaucoup d’expert il serait plus avantageux de mettre l’accent sur des avions de petite taille pouvant faire de longues distances. En ne répondant pas a la création d’un super Jumbo, Boeing ne fera ni gain, ni perte. Donc il serait préférable pour Boeing de ne pas suivre la route au risque de perdre. Pour les quinze prochaines années les constructeurs ont pour objectif de réduire de 18 décibels le niveau sonores des avions de lignes. De plus, les aéroports vont allouer aux transporteurs un quota de bruits et déjà les avions les plus bruyants sont soumis à un couvre- feu. Face à la taille et à la complexité des appareils, les pistes en matière d’innovation sont nombreuses pour l’industrie aéronautique, les principales pistes sont dans ce qui concerne la navigation la sécurité, et la réduction des bruits. Les industrielles de l’aéronautiques consacrent l’équivalent de 15% de leur chiffre d’affaire à la recherche et développement. Des technologies de guidage plus sophistiquées qui permettront d’améliorer la profitabilité des compagnies aériennes. Un avion peut il voler a l’électricité? Avec la baisse des réserves de pétrole certains constructeurs réfléchissent au problème, par exemple Boeing a annoncé qu’il s’apprêtait à développer un avion alimenté en énergie électrique.

Ce dernier détiendra 80% du capital de cette coentreprise dont la valeur a été augmentée de plus de 500 millions de dollars par rapport au projet initial, à 5,26 milliards de dollars (4,64 milliards d’euros). Embraer a précisé qu’il s’attendait à recevoir trois milliards de dollars, après prise en compte des coûts de l’opération. Les autres termes de l’accord dévoilés ce lundi sont inchangés par rapport à juillet. Avec cette coentreprise, Boeing entend couvrir toute la gamme d’avions commerciaux, allant des avions régionaux de 70 sièges aux très gros-porteurs de 450 sièges. Les deux groupes pourraient aller plus loin puisqu’ils prévoient de créer une autre coentreprise « pour promouvoir et développer de nouveaux marchés pour l’avion multi-missions KC-390 ». Selon les termes de la proposition de partenariat, Embraer détiendra une participation de 51% dans cette coentreprise, Boeing le solde. Cette opération doit encore être approuvée par le gouvernement brésilien, en raison du caractère stratégique d’Embraer et par les actionnaires de l’avionneur brésilien. L’optimisme prévaut sur ce point, a dit une source proche des négociations. Le président sortant Michel Temer a indiqué qu’il laisserait la décision à son successeur, qui entrera en fonction le 1er janvier. Le président-élu Jair Bolsonaro s’est dit favorable à l’accord, qui est largement perçu comme une réponse de Boeing à l’alliance entre Airbus et le canadien Bombardier, principal concurrent d’Embraer. Après ces annonces, le titre Embraer gagnait plus de 5% en début de séance à la Bourse de Sao Paulo, affichant la plus forte hausse de l’indice vedette Bovespa. 14,6% pour le Bovespa sur la période. La semaine dernière, un tribunal fédéral brésilien a rejeté une ordonnance qui bloquait ce projet de rapprochement. Le tribunal avait été saisi par quatre parlementaires du Parti des travailleurs.

Le premier vol ou vol inaugural d’un avion est la première occasion pour celui-ci de prendre les airs par ses propres moyens. Juin 1938. C’était le plus gros avion civil (Les avions civils sont apparus après la Première Guerre mondiale, pour le transport du courrier puis des voyageurs dans le cadre de l’aviation civile. 90 passagers sur les vols de jour et 40 passagers sur les vols de nuit. Un an après, la première ligne commerciale des États-Unis au Royaume-Uni fut inaugurée. Sur un bateau, une cabine désigne une pièce d’habitation pour une ou plusieurs personnes. L’altitude est l’élévation verticale d’un lieu ou d’un objet par rapport à un niveau de base. 20,000 pieds, donc au dessus de la plupart des perturbations méteorologiques. Pendant la Seconde ( Seconde est le féminin de l’adjectif second, qui vient immédiatement après le premier ou qui s’ajoute à quelque chose de nature identique. Guerre Mondiale, Boeing construisit un grand nombre (La notion de nombre en linguistique est traitée à l’article « Nombre grammatical ».) de bombardiers. Beaucoup de travailleurs étaient des femmes dont les maris étaient partis à la guerre.

Séjours : Tarifs TTC, hors taxes de séjour, par personne sur base d’une chambre double. Prix « à partir de » valables à certaines dates et sous réserve de disponibilités et de confirmation. Ces tarifs n’incluent pas les suppléments ou options susceptibles de s’appliquer à certaines réservations ou destinations. Week-ends : Tarifs TTC hors taxes de séjours, indiqués par personne « à partir de », valables à certaines dates et sous réserve de disponibilité et de confirmation. Ces tarifs n’incluent pas les suppléments ou options susceptibles de s’appliquer à certaines réservations ou destinations. Locations : Tarifs TTC par logement et par semaine (sauf mention contraire), « à partir de », valables à certaines dates, sous réserve de disponibilité et de confirmation. Voiture : Tarifs TTC « à partir de », par jour et pour un petit véhicule, hors suppléments, avion de chasse Beauvais valables à certaines dates et sous réserve de disponibilité et de confirmation. Croisières : Tarifs TTC par personne « à partir de », hors taxes de séjours, valables à certaines dates et sous réserve de disponibilité. Hôtel, combinée à la souscription d’une assurance est fournie par Opodo SL, c/ Conde de Peñalver 5, 1º Ext.

Défaut ou erreur de pilotage?

Un avion de chasse égyptien MiG-29M s’est écrasé tout au long des instructions de routine de l’armée le 5 décembre 2019. Le pilote a survécu après s’être correctement éjecté de l’avion. L’avion de chasse mma était sur un vol de coaching au sud-ouest d’Alexandrie au cas où il serait impacté par un « dysfonctionnement soudain » qui aurait forcé le pilote à s’éjecter. La cause de l’échec de fonctionner correctement est explorée par un comité pratique, a expliqué le porte-parole des services militaires égyptiens Tamer Al-Rifai dans une simple affirmation. Des professionnels de la Fédération de Russie, le lieu de fabrication de l’avion, doivent être envoyés pour aider à la recherche. Un autre MiG-29 de la Force aérienne égyptienne s’est écrasé en décembre 2018, ne faisant aucune victime. En octobre 2018, un avion de chasse MiG-29 mma s’est écrasé dans une forêt à proximité de Moscou, en Russie, lors d’une mission d’éducation. Chaque pilote d’avion s’est éjecté avec le temps, mais le problème n’est pas connu. L’avion était un modèle expérimental qui n’est peut-être pas encore en service. Un avion de chasse MiG-29 mma s’est écrasé dans un bois à proximité de Moscou, en Russie, tout au long d’un objectif d’instruction. Chaque pilote s’est éjecté au fil du temps, mais son problème n’est pas identifié. L’avion s’est éloigné du terminal de l’aéroport Joukovski (ZIA), au sud-est de Moscou. En plus des procédures chirurgicales commerciales, le terminal de l’aéroport abrite également l’institution d’enquête de vol Gromov Airline, à laquelle appartenait le combattant mma. L’avion était une version expérimentale qui n’est certainement pas en service, comme l’a souligné la société de rapports européenne RIA. Il s’est écrasé à proximité de la ville de Dmitrovskoye dans une zone peu peuplée, sans avoir causé de dégâts. Les deux pilotes ont réussi à s’éjecter, comme l’a souligné une source au sein des forces de l’ordre proposées par la société d’information européenne TASS. Les services professionnels d’urgence sont sur la page Web de l’accident. Une recherche a été ouverte.Premièrement produit comme étant un chasseur de brillance du flux d’air tout au long de l’ère soviétique par ce que l’on appelait Mikoyan et Gurevich Design and Style Bureau, le MiG-29 est un chasseur à deux moteurs exploité par 23 forces atmosphériques autour le globe, soit dans sa variante d’origine, soit dans sa mise à niveau multirôle (MiG-29SMT). Une faute spécialisée pourrait être à l’origine de la collision de tout jet MiG-29 européen à l’intérieur des mers méditerranéennes. Cette information a été donnée par un représentant du ministère russe du Bouclier vers le 14 octobre. Sur la base des examens préliminaires, l’événement s’est produit une fois que le chasseur à réaction MiG-29 à deux moteurs a effectué son voyage en avion et s’apprêtait à atterrir à propos du fournisseur d’avions de l’amiral Kuznetsov. L’aviateur a pu éjecter en toute sécurité et en toute sécurité dans le cockpit. Source: vol en avion de chasse

Les vautours d’Aigle Azur

Aigle Azur une procédure de mise en faillite en sept. 2019 restant une piscine bien plus de 12000 créneaux aériens offerts. Les champions et les perdants de la lutte pour les jeux de machines à sous avaient été découverts. Quand Air France-KLM, Wizz Oxygen et Lufthansa ont pris les meilleures bouchées, Ryanair n’a pas été donné. COHOR, l’association française chargée de la synchronisation des agendas de voyage, a dévoilé sa liste de compagnies aériennes qui bénéficieraient des créneaux horaires du défunt Aigle Azur au terminal de l’aéroport de Paris-Orly (ORY). Le groupe de personnes Atmosphère France-KLM, Wizz Air et Lufthansa sont probablement les bénéficiaires de la redistribution. Un pool de 12 335 créneaux aériens doit être redistribué suite à la faillite d’Aigle Azur en septembre. 2019. Néanmoins, comme COHOR l’a décrit dans le communiqué de presse, l’État français a préempté le plus haut de 20% de la piscine pour les services professionnels soumis aux responsabilités publiques ouvertes de soutien. Ces 2 467 créneaux seront ainsi désignés par la Direction commune de l’aviation civile (DGAC), soit 9 868 créneaux (environ 13 vols par jour) pour redistribution par le coordinateur. Avec 2 920 emplacements, soit environ 30% de votre piscine, Air flow France-KLM Team via ses filiales Hop! et Transavia peut être le principal bienfaiteur de votre redistribution. Le groupe conserve déjà plus de la moitié des machines à sous à Orly. Même si la diffusion une fois par an a été faite à la lumière des demandes pour l’heure d’été 2020, les opérateurs bénis qui peuvent avoir acquis de nouveaux créneaux horaires avec un calendrier annuel peuvent commencer le support dans la saison d’hiver en cours 2019- 2020 (W19). Dans l’ensemble, COHOR avait reçu des besoins de 232 688 machines à sous des compagnies aériennes, ce qui est presque la capacité de douze mois d’Orly. Et cela inclut, ASL Airlines France, Tassili Airlines et Volotea devraient ouvrir un certain nombre de voies vers l’Algérie, dans des villes comme Alger, Oran ou Constantine. L’Algérie était la principale activité de feu Aigle Azur. Ryanair et IAG (Vueling) n’ont pas non plus été donnés. La salle d’audience commerciale d’Evry a rejeté toutes les offres de rachat d’Aigle Azur. L’activité du deuxième plus grand transporteur aérien français cesse à partir du 27 septembre 2019. Tout de suite après deux cycles d’offres insatisfaisantes, la Cour expérimentée a présenté jusqu’au 16 septembre pour la première fois propose d’être envoyée. Mais «aucune réponse durable n’est devenue offerte avec les clients « , souligne désormais le leader du tribunal. L’activité de votre voyage en avion devrait cesser officiellement la nuit du 27 septembre 2019. Ambiance France avec le groupe Dubreuil, compagnie maman ou papa des compagnies aériennes French Bee et Atmosphere Caraibes, a suscité un intérêt avéré grâce à la circulaire initiale, mais a finalement retiré leur perspective d’envoyer un approvisionnement fréquent.En cas de gros problèmes économiques, Aigle Azur avait déclaré faillite personnelle et arrêté les procédures le 7 septembre 2019. Le vol, La France et le Maghreb ont utilisé environ 1 150 personnes et géré 11 avions Airbus (neuf A320 et deux A330 loués).

Bogota: un aéroport dangereux

Causé par une communication insuffisante avec la gestion du trafic du site Web de l’atmosphère à Bogota, en Colombie, un Airbus A340 dirigé par Air France a été coincé dans un cisaillement de vent lors du décollage. Cependant, le Bureau français d’enquête et d’évaluation pour la protection de l’aviation civile (BEA) a appris que les mesures préventives utilisées avec le transporteur juste après un incident similaire des mois auparavant auraient pu vous sauver la journée. Le 18 août 2017, l’Airbus A340-300, immatriculé F-GLZO, effectuait le vol de la compagnie aérienne AF-681 de Bogota, Colombie (BOG) à Paris (CDG), France avec 219 voyageurs et 10 membres d’équipage à bord. Bien qu’il soit en situation d’attente de la piste 13R prêt au décollage, l’anémomètre mesure la brise de 211 ° à 1 nœud. Depuis que l’équipe de vol a commencé la gestion à emporter, le vent de face s’est amélioré à 11 nœuds, et chaque fois que l’avion a atteint la vitesse de rotation, il s’est rapidement transformé en un vent arrière de 12 nœuds ainsi qu’un courant descendant de 4 nœuds, diminuant la vitesse de 6 nœuds. . « En ce moment, six instants après que l’avion soit resté au sol, le Flight Control Advice and Envelope Laptop ou computer a trouvé un cisaillement de vent menant à un message réactif » WINDSHEAR « de couleur rougeâtre simplement affiché pendant quelques secondes autour du voyage principal. L’écran (PFD) ainsi que l’avertissement musical «WINDSHEAR» se répètent 3 fois », suggère le BEA dans le communiqué de clôture. L’équipe de voyage n’a pas ajusté la conception de l’avion et la direction d’attaque a continué de croître jusqu’à ce que la méthode «Alpha Protection» soit déclenchée, pendant un certain nombre de secondes. Le taux de vent arrière a commencé à diminuer et la vitesse aérodynamique ajustée ainsi que le niveau de montée ont augmenté. L’avion a progressivement dépassé le seuil de piste en utilisant une limite d’altitude acceptable. Avec cette étape, le vol de la compagnie aérienne s’est déroulé normalement et est arrivé à l’endroit en toute sécurité. Avec toute la poussée de l’avion actuellement en place pour envisager la mise hors service, le personnel de bord de la compagnie aérienne avait des options restreintes pour agir. Ainsi, le BEA se concentre sur la façon dont la meilleure gestion de la menace de cisaillement du vent est l’élimination. Mais pour y parvenir, le terminal de l’aéroport de Bogotá El Dorado devrait être construit avec les solutions appropriées qui informeraient le trafic aérien du site Web du cisaillement du vent. Ce n’est pas comme ça en ce moment. Le BEA recommande une analyse des dangers par l’expert de l’aviation civile de Colombie et, si nécessaire, l’installation des produits appropriés. De plus, il conseille un changement de procédure qui obligerait les contrôleurs de la circulation du site Web de la circulation aérienne à fournir aux équipes de vol au départ les informations sur la brise des deux fin de la piste. À la suite de l’événement, Atmosphere France avait émis un NOTAM pour que votre personnel demande ces informations aux contrôleurs. Au final, le BEA regrette le manque d’informations appropriées proposées au personnel français du seul fait que les autres conversations organisées par ATC étaient en réalité fabriquées en espagnol. «Le contrôleur a autorisé un certain nombre d’équipages à descendre brièvement avant le voyage d’Atmosphere France et leur a fourni à chaque fois les dernières informations sur le vent. Ces détails, transmis en espagnol, auraient pu intéresser l’équipe sur ce grave incident », précise le communiqué. Le 11 mars 2017, 5 à quelques mois de l’accident, un autre A340 d’Air France a enregistré un F-GLZU connaissant une considération inhabituellement longue au terminal de l’aéroport de Bogota. En conséquence, le transporteur français a connu une augmentation du décollage des marges de sécurité de base pour les trajets effectués sur l’A340-300, diminuant le décollage de l’avion. Sur la base du BEA, la différence de poids aurait pu être décisive dans la possibilité qu’a l’avion de supporter le cisaillement du vent, et aurait également pu empêcher un crash.

Le fiasco du MiG 1.44

Au cours de la décennie précédente, l’incursion de la Russie dans le développement des chasseurs à réaction de cinquième génération est devenue synonyme du prochain Su-57. Mais le Su-57 n’était que la deuxième tentative de la Russie de développer un avion de cinquième génération, précédé de plusieurs décennies par un projet tout à fait différent.

C’est l’histoire du malheureux MiG 1.44.

En 1979, le haut commandement soviétique a déterminé qu’une nouvelle génération d’avions de combat était nécessaire pour assurer la compétitivité de la Force aérienne soviétique (VVS) dans les années 1990 et au-delà. Le timing n’aurait pas pu être plus approprié; Ce n’est que plusieurs années plus tard que l’armée de l’air américaine a commencé à rechercher et à développer ce qui allait devenir le chasseur F-22 extrêmement compétent.

Le projet, connu sous le nom de MFI ou «Multifunctional Frontline Fighter», établissait un ensemble de critères de conception fondamentaux correspondant à peu près à la compréhension soviétique et russe de ce qui fait un chasseur de cinquième génération: supermanuverabilité, capacité de croisière élevée (supersonic soutenue). vitesses sans l’utilisation de systèmes de postcombustion), section transversale radar faible, système avionique intégré et capacité d’atterrissage / décollage considérablement améliorée.

La commande d’achat a été attribuée à l’avionneur soviétique Mikoyan en 1983. Après des expériences prolongées avec plusieurs systèmes aérodynamiques, Mikoyan a finalement opté pour une conception en aile delta ressemblant à un canard afin de distinguer leur chasseur des systèmes à aile balancée de l’avionneur rival Sukhoi. La rivalité entre Mikoyan et Sukhoi était l’une des raisons de l’échec final de MiG 1.44, Sukhoi continuant d’insister pour que son projet Su-37 en cours puisse produire un meilleur résultat à un coût inférieur.

À la fin d’un processus de recherche et développement torturé, Mikoyan avait préparé un prototype de prototype approuvé par VVS en 1991. Les spécifications finales du MiG 1.44 restent mystérieuses, car presque toutes les spécifications connues du combattant datent du stade MFI développement. Ce que l’on sait, c’est que le MiG 1.44 a été conçu pour être utilisé avec le moteur AL-41F, a une vitesse d’environ 1 500 km et une autonomie pouvant aller jusqu’à 4 500 km, 12 points durs internes et 8 points externes, et compatible avec presque toute la gamme de missiles soviétiques Kh, bapteme de l’air KAB et R-73 / R-77 à guidage aérien. Il n’existe aucune information fiable quant à la qualité des fonctionnalités avionique et furtive «intégrées» du MiG-1.44, deux de ses critères de conception les plus cruciaux.

Comme de nombreux projets militaires soviétiques ambitieux des années 1980, l’effondrement de ce dernier a imposé un fardeau inacceptable au budget déjà serré de Mikoyan. Le gouvernement russe nouvellement formé a suspendu le programme des IMF après une brève période d’essais en 1994, invoquant des préoccupations de coût, avant d’annuler le programme en 1997.

Pas encore prêt à admettre sa défaite, Mikoyan a réussi à produire et à effectuer un test d’un prototype de MiG-1.44 fonctionnel en 2000. Le vol d’essai a révélé une multitude de problèmes de performances et de problèmes d’ingénierie non identifiés, poussant le Kremlin à mettre le dernier clou à la MiG Le cercueil de 1,44. Le programme de chasse de cinquième génération de la Russie a dû être relancé avec le T-50 de Sukhoi (maintenant connu sous le nom de Su-57) projet, entraînant un coût irrécupérable de quinze années de recherche et développement.

La naissance torturée du MiG-1.44 et sa mort encore plus douloureuse illustrent parfaitement les dangers inhérents au développement de matériel militaire militaire phare, où des décennies de travail de recherche et développement onéreux sont souvent vaines. Mais cela peut aussi être vu comme une histoire de potentiel non réalisé; Si le complexe militaro-industriel soviétique avait de nouveau été réengagé à l’égard du programme des IMF, les erreurs du MiG 1.44 auraient peut-être été révélées beaucoup plus tôt, voire totalement évitées.

L’OTAN modernise ses AWACS

L’OTAN doit moderniser sa flotte vieillissante d’avions E-3 AWACS au coût d’un milliard de dollars, a annoncé l’Alliance mercredi.

« Je peux confirmer que nous allons signer un contrat de modernisation, de modernisation du parc AWACS, d’un milliard de dollars », a déclaré Jens Stoltenberg à la presse lors d’une réunion à Bruxelles.
Les mises à niveau porteront la flotte jusqu’en 2035, mais la décision sur ce qui remplacera l’avion vieillissant n’a pas encore été prise.

L’OTAN dispose de 14 avions AWACS E-3A, des Boeing 707 modifiés, facilement identifiables grâce au dôme radar distinctif monté sur le fuselage.

L’E-3A fonctionne généralement à une altitude d’environ 10 km. À partir de cette altitude, un seul E-3A peut surveiller en permanence l’espace aérien dans un rayon de plus de 400 km et peut échanger des informations – via des liaisons de données numériques – avec des commandants au sol, en mer ou en vol.

« Nous cherchons également à remplacer la flotte AWACS après 2035 », a déclaré le chef de l’Alliance, M. Stoltenberg.
Au début de l’année, nous avions signalé que l’OTAN peut remplacer son avion E-3 Sentry par un nouvel avion E-7 Wedgetail. Michael Gschossmann de l’Agence du Traité de l’Atlantique Nord, qui gère la flotte de véhicules AWACS, a déclaré à Reuters que ce dernier devrait parachever d’ici décembre un contrat de 750 millions de dollars avec Boeing pour prolonger la durée de vie de l’avion E-3 jusqu’en 2035. a maintenant fait ainsi.

Cependant, le point important est que Gschossmann a également déclaré qu’il était essentiel de décider rapidement du remplacement des aéronefs de 1979/1980, sans quoi l’OTAN devrait prendre des mesures coûteuses pour les garder plus longtemps.

Gschossmann a indiqué que l’OTAN pourrait suivre l’exemple des Etats membres, la Grande-Bretagne et la Turquie, aviation information en achetant le E-7. Ces avions, a-t-il dit, étaient suffisamment gros pour ajouter de nouvelles capacités potentielles, telles que l’utilisation de drones pour une surveillance accrue, dans les années à venir.
Le E-7 est basé sur le Boeing 737-700 avec l’ajout d’un radar avancé multi-rôle à balayage électronique.

« Pourquoi ne parions-nous pas sur la technologie éprouvée que nous déjà dans le E-7 et fournir à l’OTAN un certain nombre de ces avions? Cela nous donnerait une capacité de base qui pourrait être étendue à l’avenir », a-t-il déclaré.

La Suisse Rouvre Le Dossier De Son Futur Avion De Combat

Le 18 mai 2014, une votation populaire mettait un terme à la procédure d’acquisition de 22 chasseurs JAS-39 Gripen E pour la modernisation de l’aviation militaire helvétique. Ce verdict sans appel ne résolvait toutefois pas le problème de fond : la défense aérienne du territoire de la Confédération repose aujourd’hui sur 54 Northrop F-5 Tiger 2 (42 F-5E et 12 F-5F) vieux de plus de 30 ans et dont seulement 26 sont encore opérationnels, ainsi que de 31 McDonnell Douglas F/A-18 Hornet (26 F/A-18C et 5 F/A-18D), qui doivent arriver en fin de vie en 2025.

Le 24 février, Vol en avion de chasse Guy Parmelin a donc officiellement annoncé au Conseil fédéral son intention de relancer une procédure d’acquisition pour un appareil de remplacement. Pour cela une demande de crédit EEP (études de projets, essais et préparatifs d’achat) sera soumise au Parlement en 2017. D’ici là, le département fédéral de la Défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) lancera des études préparatoires dès le printemps 2016.

Deux groupes d’experts vont être nommés. Le premier, interne, sera composé de représentants des différents domaines concernés de l’armée, d’Armasuisse et du Secrétariat général du DDPS pour identifier les besoins et définir la procédure ainsi que les aspects industriels. Il remettra son rapport en janvier 2017. Le second panel, externe, sera composé également de représentants du DDPS, mais aussi d’autres départements, de l’industrie et de la Société suisse des officiers, et sera chargé d’accompagner les travaux.

Sélection en 2020

Si le crédit EEP est voté, le choix du modèle d’appareil pourrait intervenir en 2020, le vote du crédit d’acquisition en 2022 et le début des livraisons en 2025.

En 2014, le marché était évalué à 3,13 Md FS pour le seul remplacement des F-5. Également étudiée, l’extension de la durée de vie des F/A-18 jusqu’à 2030 coûterait quelque 500 M FS.

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Face Au F-35, Le Rafale De Dassault Jouera Crânement Sa Chance En Belgique

Et finalement, contre toute attente, la France a accepté de jouer crânement sa chance en Belgique pour imposer le Rafale face au favori, le F-35 de Lockheed Martin, et l’Eurofighter (BAE Systems, Airbus et l’italien Leonardo – ex-Finmeccanica). Ce n’était pas acquis (Boeing et Saab ont déjà déclaré forfait), car personne ne croit véritablement en France aux chances du Rafale en Belgique face au grandissime favori, le F-35 pour remplacer la flotte de 54 F-16 (+ 5 en réserve), dont la moyenne d’âge s’élève à 32 ans.

« Le gouvernement français fera une proposition au gouvernement belge pour le renouvellement de sa flotte de combat », a pourtant annoncé jeudi la ministre des Armées, Florence Parly en marge d’une réunion de l’Union européenne à Tallinn. Aussi, Paris a sorti la seule carte, qui puisse faire hésiter Bruxelles, la carte politique (partenariat stratégique avec la France dans le cadre de l’Europe de la défense). Mais ce n’est pas sûr que la Belgique accepte cette offre non sollicitée de la France, qui ne répond pas formellement à l’appel d’offres (RFGP ou Request for Government Proposal) lancé le 17 mars dernier par Bruxelles.

Un partenariat stratégique étroit

Dans le cadre de l’offre française, la ministre des Armées, Florence Parly, a proposé à son homologue belge Steven Vandeput « la mise en place d’un partenariat approfondi » entre les deux pays, « pour répondre au besoin exprimé par l’armée de l’air belge », a expliqué le ministère des Armées dans un communiqué. La France propose un « partenariat structurant », qui pourrait prendre la forme d’un accord intergouvernemental.

Selon le ministère, ce partenariat comprendrait la fourniture du Rafale. Plus précisément, la Belgique prendrait part à la définition du standard de l’avion de combat tricolore ainsi qu’aux modernisations de l’appareil. Ce partenariat comprend également « une coopération approfondie entre nos deux armées de l’air dans les domaines opérationnels, de formation et de soutien, ainsi qu’une coopération industrielle et technique impliquant des entreprises des deux pays ».

« Cette proposition d’un partenariat global allant bien au-delà des seuls équipements militaires consoliderait la relation ancienne et profonde entre nos deux pays, Vol en avion de chasse a estimé le ministère de la Défense. Elle contribuerait au renforcement de l’Europe de la Défense et de son autonomie stratégique, à une période où celle-ci est plus que jamais nécessaire ».

Paris et Bruxelles ont déjà conclu un partenariat en juin dans le secteur des blindés, prévoyant l’acquisition de près de 500 véhicules de combat français par l’armée belge et une coopération dans les domaines de la formation, l’entraînement et l’entretien.

Trois candidats pour le remplacement des F-16

La Belgique a lancé le 17 mars dernier une procédure d’achat pour 34 avions de combat en vue de remplacer ses vieux 54 F-16 (Lockheed Martin) à l’horizon 2023-2028, un marché estimé à 3,6 milliards d’euros. Le délai pour le dépôt des offres s’achève ce jeudi à minuit. Il restera trois candidats en compétition, Lockheed Martin avec le F-35, le consortium européen Eurofighter avec le Typhoon et finalement Dassault, tout près de jeter l’éponge, avec le Rafale.

Les autorités belges estiment le coût de l’acquisition des 34 nouveaux avions de combat à 3,57 milliards d’euros, auquel il faut ajouter 1,2 milliard pour des activités annexes comme l’entretien ou la formation des techniciens et pilotes. Sur les 40 ans de vie évaluée pour les futurs avions de chasse, la facture devrait atteindre les 14,9 milliards d’euros.

Pourquoi le F-35 est favori

Pays membre de l’Union européenne et cœur de l’Europe, la Belgique devrait pourtant à nouveau choisir le F-35, Vol en avion de chasse pourtant victime de déboires technologiques et financiers à répétition. Pourquoi Bruxelles tournerait une nouvelle fois le dos à la préférence européenne? Grâce à un critère déterminant qui serait inscrit dans le cahier des charges pour le remplacement des F-16 mais qui n’a pas été précisé dans les documents publics : la capacité d’emporter une bombe nucléaire de fabrication américaine dans le cadre des missions de l’OTAN. La Belgique assume cette mission depuis des décennies, mais le nombre s’est réduit à une seule: celle confiée aux F-16 stationnés à Kleine-Brogel (F-16A), qui sont capables d’emporter et de larguer une bombe nucléaire américaine B-61. En tout cas, Bruxelles qui souhaite la conserver, l’a fait savoir.

« Au sein de l’Alliance, la Belgique a accepté, il y a cinq décennies déjà, que ses avions de combat possèdent aussi bien une capacité conventionnelle que nucléaire. Tenant compte d’une analyse réalisée en commun de la menace globale, l’OTAN nous demande de continuer à maintenir nos avions de combat disponibles pour d’éventuelles missions de cette nature. Nous comptons bien remplir toutes nos obligations dans ce cadre », a expliqué en janvier le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders.

Cela risque de biaiser la compétition et donc de favoriser le F-35 américain face à ses quatre concurrents : F/A-18E/F Super Hornet, Rafale F3R, JAS-39E/F Gripen et Eurofighter Typhoon. Seul le F-35 sera capable d’assurer la mission d’attaque nucléaire en emportant une bombe à gravitation américaine de type B-61. Il est conçu comme étant à double capacité (conventionnelle et nucléaire) et devrait pouvoir emporter une bombe B-61 dans une phase ultérieure de son développement, sans doute à partir de 2022. Ce qui n’est pas le cas pour les autres prétendants au marché belge, à l’exception toutefois du Rafale. Pas sûr pour autant que Washington partage les codes de mise à feu et de largage des B-61. Et donc autorise le Rafale à porter la bombe B-61.

Proximité de l’armée de l’air belge et néerlandaise

En outre, l’armée de l’air belge est proche de celle des Pays-Bas, qui a sans hésitation acheté 37 F-35. Après l’achat de Mirage 5 en 1968 et d’Alpha Jet en 1973, deux avions de Dassault Aviation, Bruxelles avait fini par choisir le F-16A/B de Lockheed Martin en 1975 au détriment du Mirage F1. La Belgique se ralliait ainsi au choix des Pays-Bas, de la Norvège et du Danemark pour le F-16 et signait un chèque à Lockheed Martin pour 116 F-16A/B. Car ces quatre pays de l’OTAN avaient décidé de faire un choix commun pour leur futur avion de combat.En 1983, Bruxelles avait signé un nouveau chèque à Lockheed Martin pour l’achat de 44 F-16A/B supplémentaires. Soit au total 160 F-16A/B.

« Je vois d’importants avantages à la coopération (militaire) entre nos pays, avait estimé en mai 2016 le commandant de la force aérienne néerlandaise, le général Alexander Schnitger à la chaîne publique flamande VRT, en faisant allusion aux missions menées en commun en Irak – et bientôt en Syrie pour les Belges – ou la défense commune de l’espace aérien du Benelux. Pourquoi ne pas faire tout simplement de deux relativement petites forces aériennes une seule grande ».

Aussi, la Belgique devrait être naturellement tentée de s’inscrire dans le partenariat avec La Haye et de reformer le club des quatre (Belgique, Pays-Bas, Norvège et Danemark). La Haye, Oslo et Copenhague ont déjà choisi le F-35 au détriment d’un avion européen.

La Fin Probable De L’Eurofighter Profitera-t-elle Au Rafale?

Le programme Eurofighter est proche de son chant du cygne. Ce lundi 19 mai, le président de la division défense d’Airbus Group, Bernhard Gerwert, a indiqué qu’Airbus Group et ses partenaires arrêteront de fabriquer cet avion s’ils n’engrangent pas de nouvelles commandes à l’export d’ici à 2018.

« Certaines décisions finales doivent encore être prises mais notre hypothèse est qu’il n’y aura pas de phase 3B (la dernière tranche de commandes, ndlr) », a-t-il déclaré lors d’un point de presse à Berlin. »Sans 3B et sans autres perspectives d’export, le programme Eurofighter s’arrêtera en 2018″, a ajouté Bernhard Gerwert.

Lancé dans les années 90 par l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie, l’Eurofighter est construit par Airbus en collaboration avec le britannique BAE Systems et l’italien Finmeccanica. Il fait actuellement face à la contraction des budgets militaires de la majorité des pays.

L’Allemagne a ainsi récemment annulé une commande de 37 unités. Des négociations sont en cours pour vendre l’Eurofighter hors d’Europe, au Qatar, ou au Koweït. Mais sur tous ces marchés, « nous faisons face à une concurrence ardue », a analysé Bernhard Gerwert.

Les Suisses rejettent le Gripen

Rafale contre Eurofighter

> Eurofighter: actuellement 719 appareils sous contrat et 571 commandes. Contrairement au Rafale, il a réussi à s’exporter en Autriche, en Arabie Saoudite et en Oman.

> Rafale: l’avion de chasse de Dassault compte 180 commandes fermes, la totalité provenant de l’armée française. Ce chiffre devrait passer à 225 d’ici à 2019. Mais Dassault espère finaliser la vente de 126 appareils en Inde avant la fin 2014.

La fin du programme Eurofighter est une annonce mi-figue mi-raisin pour le Rafale de Dassault. Certes, Bapteme et vol en avion de chasse l’avion de chasse tricolore fait face à un concurrent en moins sur le plan mondial. Mais la fin du programme Eurofighter démontre également que le marché mondial continue de s’assombrir.

En mars dernier sur BFM Business, le directeur général délégué d’Airbus Group, Marwan Lahoud expliquait que « le nombre de campagnes s’amenuise et il est de plus en plus difficile de vendre des avions de combat ».

Or Dassault doit encore réussir à exporter son avion de chasse pour briser notamment sa dépendance à l’Etat français. Il se veut toutefois optimiste concernant la finalisation de sa méga-commande de 126 Rafales par le gouvernement indien. Ce lundi, Eric Trappier, PDG du groupe français a déclaré être « rassuré » par la victoire du parti nationaliste hindou lors des dernières législatives. Il espère que cette victoire permettra de signer le contrat avant la fin de l’année.

Eric Trappier a également indiqué que le Rafale pourrait profiter du faux-bond fait par la Suisse au Gripen de Saab. Dimanche 18 mai, les électeurs suisses ont ainsi rejeté lors d’une votation l’achat de 22 appareils auprès du groupe suèdois.

Le F-35 participe à des exercices joints en Europe

Les avions de combat F-35A de cinquième génération participent à un exercice multinational mené par les forces aériennes américaines en Europe, dont le but est de démontrer les capacités de défense du système de défense aérienne et antimissile intégré des États-Unis. Les forces militaires américaines en Europe collaborent étroitement avec les forces de la coalition de Croatie, d’Italie et de Slovénie pour exécuter Astral Knight 2019 sur la base aérienne d’Aviano (Italie) et à divers endroits en Europe, le 3 juin. La formation impliquera une combinaison d’opérations de vol et de scénarios assistés par ordinateur. L’objectif de l’exercice est d’améliorer l’intégration du commandement et du contrôle, la coordination et l’interopérabilité des capacités aériennes et terrestres et le chevauchement des opérations dans l’entreprise IAMD. Plus de 30 appareils de l’USAF participent notamment aux F-35A Lightning II, aux F-16 Fighting Falcons, vol en Mirage aux KC-135 Stratotankers et aux E-3 Sentry. Les F-35A Lightning II et les Eurofighter Typhoons de l’armée de l’air italienne et les MiG-21 croates participent également à cet exercice. «L’avantage de travailler Astral Knight assure la coopération régionale des alliés de l’OTAN », a déclaré le Major Robert Umholtz, de l’armée de l’air américaine, responsable de la planification des exercices pour Air Force Africa A37 en Afrique,« Cet exercice est dirigé par les États-Unis. intégrer la 5ème génération [d’aéronefs] au fur et à mesure que nous progressons, plus nous pourrons fonctionner comme une force aérienne, une force interarmées et un partenariat de coalition.  » Les actifs de cinquième génération comprennent les avions de combat F-35A. Leurs capacités complètent et améliorent les capacités de supériorité aérienne des aéronefs de 4e génération et des autres aéronefs de 5e génération. « Nous devons nous assurer que nous avons la capacité de les intégrer pleinement dans notre plan de jeu, dans notre exercice et surtout dans notre capacité à fonctionner si nous devons entrer en guerre », a déclaré Umholtz.

Le F-35A est le dernier chasseur de cinquième génération de l’armée de l’air américaine. Il remplacera la flotte vieillissante de F-16 Fighting Falcons et de A-10 Thunderbolt II de la US Air Force, qui sont le principal avion de chasse depuis plus de 20 ans. et apporter avec elle une capacité accrue de survivre dans l’environnement de menace avancé dans lequel il a été conçu pour fonctionner. Grâce à ses performances aérodynamiques et à son avionique intégrée avancée, le F-35A offrira une furtivité de nouvelle génération, une meilleure connaissance de la situation et une vulnérabilité réduite pour les États-Unis et les pays alliés. Les soldats européens de l’armée de terre de la 10e armée, le Commandement de la défense aérienne et antimissile, entraîneront également l’entraînement de leur système de missiles sol-air pour patriotes, capable d’empêcher les ennemis d’utiliser efficacement leurs armes offensives. Une présence par rotation de l’armée américaine sur le théâtre européen renforce l’engagement des États-Unis en matière de sécurité régionale. La capacité de l’armée américaine à réagir rapidement repose sur le fait que les forces américaines sont en Europe engagées, posturées et prêtes avec une force crédible pour assurer, dissuader et défendre. Les États-Unis et l’Europe s’engagent mutuellement à relever ensemble les défis stratégiques. Exercices multinationaux, comme Astral Knight, améliorer la coordination générale entre les alliés de l’OTAN et les armées militaires afin de dissuader les adversaires et de défendre la sécurité régionale dans un environnement de plus en plus complexe.

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La France s’offre la nouvelle version du Rafale

Engagé depuis plus de dix ans sur les théâtres d’opérations – Libye, Mali, Irak, Syrie… – où la France intervient aux côtés de ses alliés, le Rafale poursuit son évolution afin de rester au meilleur niveau mondial et une référence crédible à l’exportation. C’est dans cette optique que Florence Parly, la ministre des Armées, a remis lundi, sur le site d’assemblage du Rafale à Mérignac, à Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation (*), le contrat de développement du nouveau standard (F4) de l’avion de combat des forces françaises. D’une valeur de près de 2 milliards d’euros, le contrat prévoit l’intégration «à la fois des progrès technologiques et des retours d’expérience des opérationnels (des militaires, NDLR)», détaille Éric Trappier. Des solutions de connectivité destinées au combat en réseau seront mises en œuvre, ainsi que de nouvelles fonctions pour optimiser l’efficacité de l’avion et de nouveaux armements comme le missile air-air MICA NG. F4 intégrera aussi des capacités de maintenance prédictive assorties de solutions de gestion de données (big data) et de l’intelligence artificielle. La maintenance de l’appareil en sera améliorée. «F4 constitue l’assurance que […] nos forces armées puissent mener l’ensemble de leurs missions de la façon la plus efficiente, que ce soit dans le cadre de coalitions ou de façon parfaitement autonome, comme l’exige la dissuasion française», insiste Eric Trappier.

Dassault Aviation s’engage à livrer le Rafale au standard F4 en deux étapes, en 2022 et 2024. Le standard sera aussi déployé au sein de la flotte en service. Les travaux de développement de ce nouveau standard, prévus dans le cadre de la loi de programmation militaire 2019-2025, irrigueront la filière française de l’aviation de combat: Dassault Aviation, maître d’œuvre du Rafale, l’électronicien de défense Thales, le motoriste Safran et le missilier MBDA, ainsi que les 500 PME qui travaillent sur le programme et leurs sous-traitants. «Ce sont entre 2500 et 5000 emplois directs et indirects qui vivront grâce au standard F4», vol en avion de chasse affirme Florence Parly. Le contrat assure aux industriels les capacités de maintenir leurs compétences et conforte les atouts du Rafale à l’exportation. À ce jour, l’Égypte, le Qatar et l’Inde ont commandé un total de 144 avions de combat français, dont 96 fermes. D’autres campagnes sont en cours dans le monde. «L’export, rappelle le PDG de Dassault, permet aujourd’hui d’assurer la continuité de la production du Rafale jusqu’à la reprise, en 2022, des livraisons de la quatrième tranche du programme dédié aux armées françaises.» «D’ici à 2024, 28 Rafale supplémentaires seront livrés», précise Florence Parly, en confirmant la commande de 30 Rafale de plus en 2023, comme le prévoit la loi de programmation militaire 2019-2025. Il est prévu qu’un nouveau système aérien de combat du futur (SCAF) soit introduit au sein des forces aux environs de 2040

Le Rafale continuera à bénéficier d’évolutions permanentes et restera en service jusqu’en 2050. L’industrie et les armées travaillent déjà sur l’avenir de l’aviation de combat, «qui est européen», insiste la ministre des Armées. Il est prévu qu’un nouveau système aérien de combat du futur (SCAF) soit introduit au sein des forces aux environs de 2040, puis prenne le relais de l’avion français, mais aussi de l’Eurofighter, le chasseur développé par Airbus, le britannique BAE Systems et l’italien Leonardo. La France et l’Allemagne ont en effet décidé, en juin 2017, de coopérer pour doter l’Europe d’un SCAF commun. Depuis, la France a été désignée comme «nation leader» du projet et Airbus et Dassault ont signé un accord de partenariat. Le projet entre dans une phase concrète, avec la notification, prévue fin janvier, du premier contrat d’études, ainsi que le lancement, en juin, des travaux de R&D et de la fabrication de démonstrateurs technologiques. Le premier devrait être prêt à voler en 2025.

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Lockheed Martin A Présenté Son Concept D’atterrisseur Lunaire Pour La NASA !

Lors d’une récente conférence, vol et bapteme en avion de chasse la société américaine Lockheed Martin a présenté son concept d’atterrisseur lunaire. Il s’agissait de répondre à un appel d’offres de la NASA dans le cadre des futures missions d’exploration de la Lune et de la planète Mars !

Lors de l’International Astronautical Congress (IAC) ayant eu lieu du 1er au 5 octobre 2018 à Brême (Allemagne), a été évoqué un projet piloté par la première entreprise américaine et mondiale de défense et de sécurité, également experte en aéronautique, à savoir Lockheed Martin. Le géant a dévoilé un concept de vaisseau réutilisable capable d’atterrir sur la Lune, qui devrait servir lors de futures missions de la NASA.

Il y a peu, les États-Unis ont communiqué sur leur volonté de renvoyer des humains sur la Lune, une politique vivement soutenue par le président Donald Trump. Ainsi, la NASA a lancé un appel aux différentes sociétés pour concevoir la station orbitale Lunar Orbital Platform-Gateway (LOP-G) prévue pour 2026. Le projet comprend également des capsules capables de faire des aller-retours entre cette même station et la surface de la Lune.

Or, Lockheed Martin a justement présenté un concept pouvant satisfaire les attentes de la NASA. Non seulement ce concept ressemble – avec ses quatre pieds – à l’atterrisseur utilisé en 1969, mais celui-ci pourrait rester deux semaines complètes sur la Lune sans avoir besoin d’être ravitaillé. Il pourrait aussi embarquer jusqu’à une tonne de matériel et accueillir quatre astronautes ! De plus, la NASA pourrait réutiliser ce même atterrisseur dans le cadre des futures missions d’exploration de la planète rouge !

Avant de mettre au point sa station LOP-G et éventuellement d’utiliser l’atterrisseur de Lockheed Martin, la NASA prévoit d’abord d’envoyer dans l’espace des astronautes pour un aller-retour – durant huit jours en 2023 – autour de la Lune. Ce voyage se fera à bord du vaisseau Orion, déjà fabriqué par Lockheed Martin.

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Vente D’avions Rafale : La Cour Suprême Indienne Refuse D’ouvrir Une Enquête

La vente de 36 avions de chasse Rafale à l’Inde, en 2016, par le constructeur français Dassault Aviation a été au centre d’une bataille politique ces derniers mois à New Delhi. L’opposition accuse le gouvernement de Narendra Modi d’avoir favorisé le conglomérat privé Reliance Group réputé proche du Premier ministre, au détriment de l’entreprise publique Hindustan Aeronautics Limited (HAL).

Le but de Narendra. Modi aurait été, selon les accusateurs, de toucher au passage une partie des montants que Dassault doit, contractuellement, en tant qu’entreprise étrangère, réinvestir dans Reliance. Plusieurs pétitions de militants et hommes politiques ont réclamé l’ouverture d’une enquête par la justice, jugeant que Narendra Modi avait violé les règles des marchés publics du secteur de la Défense.

La Cour suprême vient de refuser « d’interférer » dans l’affaire. Elle assure « ne pas avoir de doute quant au processus » et n’avoir trouvé « aucun élément substantiel prouvant des pratiques de favoritisme commercial ».

Polémique en France aussi

Dassault avait négocié pendant plusieurs années avec la société indienne HAL dans le cadre d’un appel d’offres pour 126 avions de chasse, majoritairement assemblés en Inde, mais les tractations n’avaient pas abouti. Peu après l’arrivée au pouvoir du nationaliste hindou Narendra Modi, New Delhi avait annulé cette procédure et préféré acquérir directement 36 Rafale fabriqués en France pour un montant estimé à 9,4 milliards de dollars.

Selon les termes du nouveau contrat, l’avionneur français s’est associé avec le très influent Reliance Group, dirigé par le magnat Anil Ambani. Cette société n’avait pourtant aucune expérience préalable dans l’aéronautique. Dassault a déjà investi plus de 100 millions d’euros dans sa co-entreprise avec Reliance à la suite du nouvel accord, les règles des appels d’offres de la Défense indienne stipulant que les entreprises étrangères en bénéficiant doivent « compenser » ou réinvestir la moitié de la valeur du contrat en Inde.

Le contrat est également décrié par certains en France, où l’ONG Sherpa a porté plainte en novembre pour dénoncer les conditions de vente de ces Rafale, vol et bapteme en avion de chasse en particulier autour du choix de Reliance. Le site d’informations Mediapart a dénoncé le financement partiel par Reliance, au moment de la finalisation de la vente, d’un film co-produit par Julie Gayet, compagne du président de l’époque, François Hollande. Ce dernier s’est défendu de tout conflit d’intérêts, affirmant que la France n’avait « pas eu le choix » du partenaire indien de Dassault.