Pendant des siècles, l’homme a regardé avec envie le vol des oiseaux et rêvé d’être capable de correspondre à leurs compétences et grâce. Le vol instable et fragile du premier avion était loin de la montée sans effort des oiseaux, et loin d’être satisfait avec leurs efforts, les hommes aspiraient toujours à la même facilité de contrôle et de manoeuvre. la vrabilité qui leur échappait constamment. De meilleurs avions avec des moteurs plus fiables ont commencé à apparaître, et les pilotes de ces machines se sont affrontées lors des premières démonstrations en vol pour prouver la supériorité orité de leur métier. C’est lors d’une telle rencontre que le Français Pegoud a formé la première manœuvre acrobatique quand il boucle son Blériot. Le premier monde La guerre a été à l’origine d’une avancée très rapide dans la conception des avions et très bientôt il a été constaté que le pilote de l’avion le plus puissant et le plus maniable sortirait victorieux au combat aérien. M. Adolphe Pegoud sur son monoplan Blériot en boucle À ce moment, les pilotes ont commencé à se rendre compte que le contrôle, la force et la puissance du avion pourrait être fait pour se conformer à leur volonté de produire un motif complexe dans le ciel, leur donnant un sentiment de liberté qu’aucun homme avant eux n’avait jamais apprécié. Ils volaient avec la facilité des oiseaux et le sport de la voltige aérienne était né. La voltige est vite devenue synonyme de voltige, malheureusement, et pour de nombreuses années a été considérée comme la méchante dame de l’aviation. Pourtant l’attrait du pur ballet aérien est resté et entre les guerres que quelques pilotes timides pourraient résister à la tentation d’apprendre l’art de la voltige. À ce moment-là, le biplan régnait en maître, et malheureux est l’homme qui ne s’est pas arrêté pour regarder un haut biplan d’argent minuscule parmi les nuages de cumulus, le seul artiste sur une scène de la largeur infinie et grandeur indescriptible. Le rugissement du moteur est assourdi par un drone lointain, pas de voix forte. une abeille dans le ciel d’été, et le soleil brille et scintille sur les ailes et les capots alors que l’avion tourne et roule avec grâce. Combien de milliers de spectateurs inconnus sont le public de cette performance? mance? Le pilote, inconscient de l’observateur envieux, est assis derrière un petit vent l’écran, ses mains et ses pieds reposant légèrement sur les commandes. L’air est clair et net et il est seul dans le ciel. Le son est très différent ici, le drone en sourdine est un grondement de gorge profonde qui se confond avec le rugissement du sillage et le hurlement des fils de contreventement. Au pilote, ce n’est pas une simple machine, mais une créature vivante, frémissante de vie, désireuse de répondre à chaque pression sur les commandes. Le sillage gronde autour du cockpit fosse, tirant avec malice sur le casque et les lunettes de protection en cuir du pilote. L’hélice est un disque tourbillonnant, miroitant au soleil, et les instruments, tremblants, racontent leur histoires propres – vitesse, altitude, régime moteur, pression et température d’huile, carburant contenu, dérapage. Le pilote les scanne en un coup d’œil, n’étudie pas vraiment l’un des eux, mais sachant que tout est comme il se doit. A lire en détail sur le site spécialiste de voltige aérienne à Lille.